C’EST PAS SI MAL AU FOND est une performance semi-improvisée conçue pour être jouée en piscine, stade nautique et autres lieux de réjouissances aquatiques. Elle se propose d’explorer de façon multidisciplinaire le thème de l’eau, en résonance avec le cadre particulier où elle est jouée. L’eau devient alors le fil conducteur d’une performance associant du chant lyrique, du jazz, des traditions d’Afrique Centrale, des textes originaux et du répertoire. C’est aussi le matériau de travail plastique pour le vidéaste et le créateur lumière, travaillant sur les reflets et la richesse de déformation née de sa souplesse réactive : un filtre analogique pour réinterpréter le réel. Deux percussionnistes aquatiques sont associées au projet, travaillant l’eau comme élément percussif, la faisant claquer, ou, en emprisonnant des bulles d’air sous leurs mains, lui faisant révéler des sons graves et résonants, selon une technique traditionnelle en usage au Cameroun.

Dossier de présentation